L’installation sur Windows
La présente fiche a été établie pour l’installation de Cart’OOo sur un Macintosh. Mais la méthode exposée n’est pas différente de celle qui prévaut pour Windows (et Linux, je présume) : je l’ai testée et c’est tout à fait concluant.
- 1. Décompresser le fichier CARTES.ZIP (à télécharger sur http://ooo.hg.free.fr/cartooo/fichier.html), assez lourd (5,7 Mo en ce moment).
Avec Windows XP, il suffit de sélectionner le fichier, puis de cliquer sur « Extraire ces fichiers » (à gauche de la fenêtre), et l’opération se déroule automatiquement. Pour les versions précédentes, téléchargez un logiciel de décompression (en voilà un qui est gratuit et libre de droits : 7zip).
- 2. On obtient une dizaine de fichiers en « .zip » qu’il va falloir aussi décompresser, les uns après les autres.
Chaque fichier donne alors naissance à trois autres (une triplette) mentionnés comme suit : sg102.sdg ; sg102.sdv ; sg102.htm (« 102 » est bien sûr un exemple : on aura sg103, sg105, sg107, etc. Inutile d’insister davantage). Par précaution, on aura pris soin de créer un dossier sur le bureau, que vous baptiserez comme bon vous semble : c’est lui qui accueillera provisoirement toutes vos triplettes.
- 3. Une fois ces opérations terminées, on transfère les triplettes obtenues dans le bon dossier, à savoir Gallery. Pour cela, on suit le chemin suivant : C : - Program Files - OpenOffice - Share - Gallery, et on déverse toutes les triplettes dans ce dernier dossier.
- 4. Toutes les triplettes sont bien au chaud, là il faut (dans le dossier Gallery) ? Alors, il n’y a plus qu’à lancer OOo. On ouvre un fichier (texte si on débute, dessin pour les plus balèzes).
On découvre la Gallery (cliquer sur l’icône complètement à droite de la barre d’outils, ou sélectionner Outils - Gallery).
Tous les dossiers de cartes apparaissent, y compris le dossier des outils ou figurés (dont on peut adapter la taille, la couleur...
On complétera l’équipement d’OpenOffice avec Atlas Hist’OOo et Atlas Géo’OOo, toujours sur le même et excellent site de Gilles Badufle.