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{{{Les enjeux du travail de mémoire }}} « Au-delà de l'enseignement de l'histoire en classe, l'institution scolaire participe à la politique de mémoire, qui met l'accent sur certains faits historiques dans le but de construire une mémoire collective autour de valeurs partagées et de contribuer au sentiment d'appartenance commune : le vivre ensemble. [...] L'École a un rôle essentiel à jouer dans l'enseignement de l'histoire et la transmission de la mémoire comme objet d'histoire, auprès des enfants et des jeunes. En complément des enseignements, en particulier celui de l'histoire, à l'école et au collège ainsi qu'au lycée, les journées commémoratives, les visites des sites mémoriels et, plus globalement, toutes les actions éducatives menées dans le domaine de la mémoire constituent des moyens privilégiés pour mener ce travail pédagogique visant notamment à faire acquérir aux élèves les repères de l'histoire à laquelle ils appartiennent et les valeurs de la République qui fondent leur École. [EDUSCOL - Les enjeux du travail de mémoire->http://eduscol.education.fr/cid74026/les-enjeux-du-travail-de-memoire.html] Le génocide des Arméniens est abordé dans les programmes de 3e et de 1re dans le cadre des violences perpétrées pendant la Première Guerre mondiale à l’égard des civils. Il est souvent étudié dans la première partie de l’année scolaire, toutefois la journée du 24 avril peut être l’occasion d’y revenir. La notion de génocide, qui est au cœur de cette question, ne peut se construire efficacement que par de nombreux aller-retours : se pencher sur les massacres de 1915 – 1917 après l’étude des autres génocides du XXème siècle ne peut qu’être éclairant. A l’approche des échéances de l’année, ce sera également un temps de révision utile dans la perspective du DNB. Enfin, traiter cette question dans le cadre de la journée du 24 avril, c’est aussi lui donner une dimension civique et faire réfléchir nos élèves sur les enjeux d’une mémoire partagée. {{{Pistes pédagogiques autour du travail de mémoire}}} Il s’agit par ailleurs d’une question qui n’est pas sans enjeux politiques et sociétaux, qui peut susciter ici ou là des réactions que tout enseignant doit être en mesure de comprendre et d’analyser pour y apporter une réponse professionnelle solide. C’est pourquoi nous avons souhaité proposer ici quelques réflexions qui permettent à la fois de mesurer les enjeux portés par cette question ainsi que des pistes pédagogiques pour l’aborder avec la classe. {{Sources et récits}} {{Le génocide des Arméniens par la BD}} {{Utiliser le témoignage et commémorer}} Nous remercions tout particulièrement Karine VALLEZ (Collège Henri-MATISSE – BOHAIN-EN-VERMANDOIS) et Julien MORABITO (Collège Françoise-SAGAN – BORNEL) pour les propositions qu’ils ont produites. Eric FROMENT

Aborder les questions socialement vives : la question du génocide des Arméniens

Le Décret n° 2019-291 du 10 avril 2019 instaure que la date de la commémoration annuelle du génocide arménien de 1915 est fixée au 24 avril. L’Education nationale s’inscrit tout naturellement dans cette démarche de travail de mémoire qui touche particulièrement nos disciplines.

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Les enjeux du travail de mémoire

« Au-delà de l’enseignement de l’histoire en classe, l’institution scolaire participe à la politique de mémoire, qui met l’accent sur certains faits historiques dans le but de construire une mémoire collective autour de valeurs partagées et de contribuer au sentiment d’appartenance commune : le vivre ensemble. [...] L’École a un rôle essentiel à jouer dans l’enseignement de l’histoire et la transmission de la mémoire comme objet d’histoire, auprès des enfants et des jeunes. En complément des enseignements, en particulier celui de l’histoire, à l’école et au collège ainsi qu’au lycée, les journées commémoratives, les visites des sites mémoriels et, plus globalement, toutes les actions éducatives menées dans le domaine de la mémoire constituent des moyens privilégiés pour mener ce travail pédagogique visant notamment à faire acquérir aux élèves les repères de l’histoire à laquelle ils appartiennent et les valeurs de la République qui fondent leur École.

EDUSCOL - Les enjeux du travail de mémoire

Le génocide des Arméniens est abordé dans les programmes de 3e et de 1re dans le cadre des violences perpétrées pendant la Première Guerre mondiale à l’égard des civils. Il est souvent étudié dans la première partie de l’année scolaire, toutefois la journée du 24 avril peut être l’occasion d’y revenir. La notion de génocide, qui est au cœur de cette question, ne peut se construire efficacement que par de nombreux aller-retours : se pencher sur les massacres de 1915 – 1917 après l’étude des autres génocides du XXème siècle ne peut qu’être éclairant. A l’approche des échéances de l’année, ce sera également un temps de révision utile dans la perspective du DNB. Enfin, traiter cette question dans le cadre de la journée du 24 avril, c’est aussi lui donner une dimension civique et faire réfléchir nos élèves sur les enjeux d’une mémoire partagée.

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Pistes pédagogiques autour du travail de mémoire

Il s’agit par ailleurs d’une question qui n’est pas sans enjeux politiques et sociétaux, qui peut susciter ici ou là des réactions que tout enseignant doit être en mesure de comprendre et d’analyser pour y apporter une réponse professionnelle solide. C’est pourquoi nous avons souhaité proposer ici quelques réflexions qui permettent à la fois de mesurer les enjeux portés par cette question ainsi que des pistes pédagogiques pour l’aborder avec la classe.

Sources et récits

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Le génocide des Arméniens par la BD

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Utiliser le témoignage et commémorer

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Nous remercions tout particulièrement Karine VALLEZ (Collège Henri-MATISSE – BOHAIN-EN-VERMANDOIS) et Julien MORABITO (Collège Françoise-SAGAN – BORNEL) pour les propositions qu’ils ont produites.

Eric FROMENT

Mise à jour : 3 juillet 2019