L’installation sur NeoOffice (pour Macintosh exclusivement)
La démarche est globalement la même que celle qui vaut pour l’installation de Cart’OOo sur un Macintosh équipé d’OpenOffice.org. Quelques détails en diffèrent, toutefois.
- 1. Décompresser le fichier CARTES.ZIP (à télécharger), qui contient la totalité des éléments de Cart’OOo, soit 5,7 Mo en ce moment. La décompression s’opère à l’aide d’un logiciel ad hoc : StuffIt suffit à notre peine.
- 2. On obtient une dizaine de fichiers en « .zip » qu’il va falloir aussi décompresser, les uns après les autres. Chaque fichier donne alors naissance à trois autres (une triplette) mentionnés comme suit : sg102.sdg ; sg102.sdv ; sg102.htm (« 102 » est bien sûr un exemple : on aura sg103, sg105, sg107, etc. Inutile d’insister davantage). Par précaution, on aura pris soin de créer un dossier sur le bureau (le « Finder »), que vous baptiserez comme bon vous semble : c’est lui qui accueillera provisoirement toutes les triplettes.
- 3. Une fois ces opérations terminées, il faut transférer les triplettes obtenues dans le dossier Gallery. Pour trouver ce dernier, il faut suivre le chemin suivant : Mac OS X (nom que j’ai attribué à mon disque dur) -> Utilisateurs -> Nom_d’utilisateur (nom donné à l’ordinateur) -> Bibliothèques -> NeoOfficeJ-1.1 -> user -> Gallery.
En clair, il suffit de cliquer sur le disque dur, l’icône représentant une petite maison (qui porte le nom de l’utilisateur), et vous trouvez "Bibliothèques". Après, vous connaissez la route...
- 4. Toutes les triplettes sont bien au chaud, là il faut (dans le dossier Gallery) ? Alors, il n’y a plus qu’à lancer NeoOffice. On ouvre un fichier (texte si on débute, dessin pour les plus balèzes).
On découvre la Gallery (cliquer sur l’icône complètement à droite de la barre d’outils, ou sélectionner le menu Outils -> Gallery).
Tous les dossiers de cartes apparaissent, y compris le dossier des outils ou figurés (dont on peut adapter la taille, la couleur...).
On complétera l’équipement de NeoOffice avec Atlas Hist’OOo et Atlas Géo’OOo, toujours sur le même site de Gilles Badufle.